"SUPER SONIC" – MURRAY – (U.S.A.) 1954.

Avec ce billet je vous invite aux voyages, vers le « Nouveau Monde » pour faire connaissance du constructeur, et dans notre enfance, celle des années « 50 », pour rêver un peu au vol spatial.
En effet je vous propose aujourd’hui un jouet à pédales peu commun en France, une espèce d’avion-fusée décliné en 3 versions par le constructeur Américain Murray -Ohio- (à Cleveland) à partir de 1954. Celui-ci se dénomme Super-Sonic JET et l’on trouvera pendant une dizaine d’années deux autres variantes sous les noms de ATOMIC MISSILE et SKY ROCKET, seules les robes seront différentes, du bleu ciel au rouge en passant par le gold
Ces jouets aux noms significatifs nous replongent totalement dans l’univers des années « 50 », la science-fiction et ses feuilletons T.V., ses B.D., ses Comics et Supers Héros.
Ils se voulaient à la fois avions, fusées, missiles, avec leurs 2 manettes/poussoirs de commandes, leurs 2 réacteurs, leur unique roue avant directionnelle commandée par un volant cintré non fermé, quelles Gueules ! ! !

Ceux qui, comme moi, ont murit à cette époque comprendront mieux que quiconque mes propos, ils se remémoreront certainement l’influence de nos libérateurs d’outre atlantique sur notre quotidien et le « dream » permanent de « l’Américan way on life ».
On trouvait également des objets aux lignes similaires, à une échelle un peu plus grande, sur certains manèges forains, souvent fabriqués en Belgique.
Pendant ces années, 3 constructeurs Européens se lançaient dans l’aventure des avions-fusées à pédales: Le Français JEAN PIDOUX avec, au catalogue de 1956, « L’ Aéro Fusée COMET« , l’Italien GIORDANI et l’« Autoreattore » fabriqué également sous licence par l’Anglais Tri-Ang sous le nom de… « Super-Sonic Plane » ! Mais ceux-ci feront l’objet de futurs articles, quand la restauration de mes exemplaires sera terminée.

LES MOTOS-TORPILLES EURÉKA

Une fois n’est pas coutume, avec ce billet je m’écarte des autos à pédales pour des jouets à 4 roues certes, automobiles sans carrosserie, tout en traitant un sujet qui m’est cher, la marque Euréka.
A partir de 1924 on trouve au catalogue de celle-ci un modèle particulier, ce n’est pas un cyclo-rameur au sens strict du dictionnaire, le cyclo-rameur est un « tricycle » (stricto sensu) que nous retrouverons plus tard sous cette appellation chez ce même fabricant en 1938. Euréka a appelé son quadricycle « Moto-Torpille », à classer dans la catégorie des « Rameurs », ces fameux engins dénommés « Irish Mail » par nos amis Anglos-saxons ou encore « Holländers » en Allemagne.
Grâce à une étude réalisée en 1920 par Mr Xavier Grandvoinnet alors directeur technique chez EURÉKA, on peut noter 6 nouveaux jouets au catalogue 1924, les Motos-Torpilles classées par numéros de 1 à 6, selon leur longueur et leur technologie.
Du n°1 long:0,80 m. équipé de roues diamètre 135mm, au n° 6 long: 1,00m. monté sur des roues de 250mm, Seuls les n°s 4 et 6 étaient pourvus d’un siège à glissières, tous avec des roues pleines. Plus tard, un peu avant la guerre de 40, Euréka n’hésitera pas à utiliser tous ses modèles de roues, de Trot’Vit, de Trottinettes, pleines ou à rayons, sur ces engins hybrides.

Au tarif de ce même catalogue nous pouvons constater que si un vélo (en bois, n°4) était affiché à 86 Francs, une auto à pédales (sport 24) l’était à 175 Francs, alors que la moto-torpille n°6, la plus élaborée, n’était vendue que 60 Francs. Ces jouets bas de gamme, destinés à être diffusés pendant de longues périodes, à de nombreux exemplaires, n’ont jamais réellement attiré les collectionneurs, ceux-ci jetant plutôt leur dévolu sur les autos à pédales. Quelques Moto-Torpilles sont toujours proposées à la vente, selon le modèle et selon l’état nous n’en avons encore jamais vu crever le plafond de 200 Euros, la moyenne se situant plutôt dans une fourchette de 100 à 150 Euros. Mais fuyons vite cette horrible constatation mercantile pour ne retenir QUE l’originalité de ce jouet mécanique du début du 20ème siècle, fabriqué et vendu jusqu’aux années 60/70.



GROS PLAN SUR…LES AUTOS A PÉDALES DU MARKETING ! – N° I –

Aujourd’hui, Jeudi 10 Mai… Et mon dernier billet date du 17 Mars dernier ? Rassurez-vous, je n’ai pas abandonné mes petites, j’ai seulement prêté une attention particulière à ce nouveau phénomène de société en ce début du 20 Siècle, LE MARKETING ! Mais LE Marketing, celui qui permettait quelques fois au Papa acquéreur d’une voiture neuve de grande marque de se voir offrir en cadeau une auto à pédales de la même marque.
Quelle idée géniale ! Mais de qui ? Qui l’a mise en application cette idée ? Qui l’a développée ?
Vaste question qui autorise bien 2 mois d’études approfondies.
L’industrie Américaine s’est lancée très tôt sur cette voie, avec Henri Ford et son modèle « T », aussitôt suivit par… Tous les autres.
En France, le grand communicant de l’époque, aujourd’hui reconnu, c’était André Citroën, mais Louis Renault ne s’en était pas laissé compter ? Alors ? Que dire d’Ettore Bugatti ?
Nous savons que Citroën avait acheté des Milliers de Citroënnettes à la Société Paulin RATIER à Montrouge (92) et à Figeac (46). Mais A.G. (A.GARNIER à Paris 13e) produisit dés 1929 les C6 à moteur électrique.
Je joins sous ce texte la photo de la première facture émise par Paulin Ratier à Monsieur André Citroën en personne, datée du 14 Novembre 1924, étant précisé que le destinataire est le « Service Jouets », pour la livraison des 5 premières Citroënettes (n° 1 à n° 5) au prix unitaire de 400 F. Nous pouvons constater sur cet intéressant document que, si le coût de la livraison s’élevait « à l’unité à 30 F., les pompes à air ne seraient facturées q’ultérieurement, avec les trousses à outils ». La commande ayant été émise le 26 Juin 1924, plus de 4 mois auront donc été nécessaires à la fabrication des 5 autos.

Nous savons également que A.G. avait, au début des années 20, les faveurs de Renault pour fabriquer entre autres les superbes KZ à carrosserie Weyman, en conduite intérieure à quatre portes et deux places en tandem, de vraies merveilles ! Équipées de phares électriques, klaxon, pare-chocs et pneus gonflables, ces jouets restent encore aujourd’hui parmi les plus aboutis de l’histoire de l’automobile à pédales. Je ne possède pas hélas de photo de ce modèle.
Nous savons enfin que Devillaine a commercialisé des auto à pédales au losange, dédiées à Renault, à partir de 1929 sous la marque DEVISIX, quand A.G. débutait la fabrication des « Incroyables » Citroënnettes C6 électriques. Petits bijoux de réalisme, écolo avant l’heure. Avec la très belle DEVISIX NN ou encore le modèle R pour Renault, Devisix sortait aussi le modèle B pour Bugatti. Si les R1 et B1 étaient fabriquées en tôle émaillée, sans accessoire, les modèles R2 et B2 recevaient déjà l’éclairage électrique à l’avant, un frein et un tableau de bord et toujours des pneus pleins en 250X17. Les modèles R3 et B3 étaient équipés en plus d’une plaque avec éclairage arrière, de pare-chocs double tube avant et arrière, et de pneus pleins 250X27. Pour les R4 et B4 c’était LE Grand Luxe ! Elles recevaient en plus un pare-brise, des rayons vissés et des pneus gonflables 250X40, le top du top !

Mais le Summum, le nec plus ultra, le chic du chic, la sportive des sportives, reste bien sûr la BUGATTI Baby type 52. Quelle allure ! Monsieur Ettore en aurait offert quelques-unes à ses bon clients ? Il est certain qu’à l’origine c’est un modèle réduit de la type 35, à moteur thermique 1 cylindre, qu’il fit fabriquer dans ses ateliers en 1927, pour les 5 ans de son deuxième fils Roland. C’est ensuite un modèle 52 à moteur électrique qui fut élaboré à la demande de nombreux clients. D’une longueur de 1,80m son capot détachable, sous lequel se logeait la batterie, comportait 16 louvres. Le moteur électrique de 12 V. fabriqué spécialement pour cette auto par « Paris-Rhône » était situé à l’arrière. C’est à la fin de l’année 1927 que la « Baby 52 » fut rallongée pour atteindre sa longueur définitive de 1,91m , avec un capot comptant désormais 19 à 22 louvres (selon la bonne volonté du carrossier). La belle pouvait ainsi se donner à des utilisateurs de plus grandes tailles.

Construite sur un châssis métallique en U les 2 longerons se réunissaient à leurs extrémités à l’aide de nombreux rivets, le plancher s’insérait en sandwich avec la carrosserie. Le siège et le capot restaient démontables. Équipé d’une direction à vis sans fin, ce bolide était monté sur quatre roues à bâtons et à tambours, en fonte d’Alpax, au plus pur style Bugatti. Il utilisait des pneus à talon Dunlop Cord « Juvenil » aux dimensions bien connues des collectionneurs d’Euréka : 350 X 55. Un grand levier situé à l’extérieur de la carrosserie actionnait les freins à câbles tandis que de très chics sangles en cuir maintenaient la roue de secours et le capot. Une réelle beauté ! ! ! Son succès mondial incontestable lui vaut aujourd’hui une cote très élevée et de nombreuses copies, alors… gare aux contrefaçons ! ! ! Même les numéros peuvent être falsifiés.

Je ne résiste pas à l’envie, pour clore ce billet, de vous proposer quelques photos d’un type 35 « baby électrique » construite à quelques exemplaires en Angleterre par un ancien employé de Molsheim, et 3 clichés d’une vraie « 37 », en ÉTAT D’ORIGINE, propriété d’un couple de passionnés qui parviennent à faire résonner en toutes saisons, et avec le plus grand respect, les entrailles de leur exceptionnelle machine tout en lui prodiguant avec amour des soins presque quotidiens. Un grand BRAVO à vous deux, Bénédicte et Sébastien.

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GROS PLAN SUR…L’EURÉKA BIPLACE 55, 1955, inspirée de la DELAHAYE 235.

Aujourd’hui, peut-être actuellement la plus rare des Euréka, la Magnifique et grande BIPLACE 55 code EK 29 très inspirée de la sublime DELAHAYE 235 CABRIOLET CHAPERON dont je joins à ce billet quelques photos pour vous permettre de mieux apprécier l’inspiration.
Ce chef-d’oeuvre commis par Mr Marcel GRANVOINNET affichait une conception très avant-gardiste:
Le châssis, constitué de 2 longerons en U et 1 caisson av. et 1 arrière, supportant une carrosserie déjà en fibres épaisse et très rigide protégée par 2 pare-chocs en aluminium poli, est entraîné par 4 pédales réglables individuellement selon la taille (l’âge) des enfants. L’essieu arrière à 4 coudes décalés, pour la suppression du point mort, est similaire à celui conçu pour les modèles BIPLACE CÔTE-A-CÔTE 33 et BIPLACE 38, alors que l’essieu avant oscillant assure la suspension.
La direction efficace reste douce et précise grâce à un ensemble à crémaillère.
Ici point d’ABS ni d’ESP mais quand même un tambour solidaire de la roue arrière sur lequel s’enroule une sangle métallique reliée par une tringle à un levier de frein (coiffé d’une boule nickelée) dont la longueur se voit diminuant de modèle en modèle, tendance oblige.
Non contente d’être avant-gardiste cette grande auto (longueur 1,70m. largeur 0,68m.) se veut luxueuse. Si la planche de bord a perdu son célèbre tableau ovale à 4 compteurs, elle possède un commutateur d’allumage des phares et feux arrières, et une commande de la « Radio » (comme le précisait le catalogue), en réalité une amusante boite à musique, sans oublier sur la gauche de la planche la célèbre plaque en aluminium gravée:  » EUREKA BREVET S.G.D.G. MADE IN FRANCE ». Toujours en adéquation avec sa grande soeur la Delahaye 235 Chaperon, la large banquette s’habille d’un capitonnage au rouge écarlate. Le grand volant métallique à 3 branches et cerclo-commande d’avertisseur électrique restera spécifique à ce modèle. Pour mieux alimenter la radio une antenne téléscopique s’élève vers les cieux, à droite du pare-brise démontable, alors qu’une majestueuse grille en fonte d’aluminium polie vient se fixer sur un fond en tôle perforée et nickelée pour orner sa grande façade avant.
Le catalogue proposait l’option d’une peinture 2 tons avec 2 filets latéraux, les roues et les bas de caisse d’un gris pâle pouvaient être accompagnés d’un bleu, d’un rouge ou d’un vert.
Hormis mon exemplaire en base bleue, que j’ai eu la chance de trouver il y a déjà fort longtemps dans cet état d’origine exceptionnel, je n’en connais qu’un autre, restauré, en base bleue également sur l’hexagone, et un modèle rouge (en piteux état) aux U.S.A.
Si l’un de vous en possède un, ou en a vu un, je vous remercie de m’en informer. Je serais heureux de pouvoir en diffuser les images sur notre « Univers », avec l’autorisation de son propriétaire comme il se doit. MERCI d’avance !

GROS PLAN SUR… L’EURÉKA SPORT 23.

Aujourd’hui un GROS PLAN sur une grande (1,55m) et belle auto, au mécanisme sophistiqué, sorti des ateliers Euréka en 1923 et construite pendant 3 ans, la SPORT 23, code usine EK 02 pour le deuxième modèle fabriqué par la marque. Faute de posséder cette merveille qui fait partie des 4 qui me manquent (cruellement… avis aux vendeurs! ), je dispose d’un bon dossier de restauration, celui de l’un de mes amis Américains « DOUG » qui, jamais avare de photos, nous permet d’observer ce superbe modèle souvent appelé « Papillon » à cause de ses ailes. La Carrosserie en 2 parties, toute en tôle, repose sur un châssis en bois relevé vers l’arrière. Le radiateur nickelé, pièce maîtresse de la partie avant, rappelle déjà sans la nommer la marque Chenard-et-Walker. On le trouve également, comme son bouchon à 6 pans et bien d’autres pièces, sur le modèle qui suivra, la Sport 24. Le capot amovible est maintenu par 4 pattes reliées à 4 ressorts fixés sur le châssis. Le siège capitonné est solidaire de la partie arrière et l’ensemble réglable peut faire varier la longueur hors-tout de la voiture. L’auto est portée par 4 roues indépendantes suspendues à l’avant par des ressorts hélicoïdaux, tout comme l’essieu arrière. Ces roues à rayons sont munies de bandages en caoutchouc de 31 cm de diamètre.
Et maintenant parlons un peu de ce fameux mécanisme tout à fait novateur, mis au point sur le modèle précédent « Sport 22 » par l’ingénieur Maison, Mr Xavier GRANDVOINNET, Merci Monsieur ! ! ! J’en profite pour adresser une pensée émue à son fils, Monsieur Marcel GRANDVOINNET, a qui nous devons également bon nombre de beaux jouets Euréka, qui lira vraisemblablement ce billet.
La propulsion est assurée par 2 pédales suspendues rappelées par 2 longs ressorts et comportant chacune 2 repose-pieds en bois. Celles-ci entraînent des tirettes agissant sur des chaînes à double rouleau enroulées autour de pignons à dents sautées, ces pignons à cliquets étant solidaires de l’essieu arrière. Le débrayage et le freinage s’effectuent à l’intérieur de la carrosserie à l’aide d’un unique et grand levier terminé par une boule nickelée, celui-ci agissant d’une part en écartant les pignons grâce à 2 fourchettes placées sur l’essieu arrière, et d’autre part sur une sangle en feuillard qui enserre un tambour en bois.
Le volant identique à la Sport 24 comporte la commande des 2 phares électriques fixés sur les côtés du radiateur.
Félicitations à Doug pour sa restauration très réussie malgré la sophistication de la mécanique. (Peut-être un vert un peu plus foncé ? ? )
Mais… Bravo et Merci Doug !

RENAULT 4 L DEVILLAINE… NEUVE !

Encore une NEUVE D’ORIGINE ! Cette mignonne 4L a été fabriquée par Devillaine comme le prouve son immatriculation : 950 DF 42.
DF pour Devillaine Frères et 42 pour le numéro du département de la Loire, siège des activités de Devillaine, rue Jean-Jaurès à Charlieu. Surprise à la bourse aux jouets à Orléans au début du mois de Janvier… Toujours très attirants ces jouets encore neufs ! ! !

VOITURE A PÉDALES NEUVE, PEUGEOT 504 DEVILLAINE.

Il est assez rare de trouver une vap « neuve ». Hé bien, parlons en ! Une Peugeot 504 Devillaine, pas tout à fait « Le chant du cygne » mais hélas proche de la fin de cette marque en 1966. Remarquez bien, sur cet exemplaire NEUF donc entièrement d’origine, la présence de tous les accessoires, décalcomanies, etc. souvent disparus après seulement quelques heures de jeux. Ce modèle « Berline » diffère du « Cabriolet » uniquement par l’absence du faux couvre-capote collé derrière le siège. Les photos valent mieux qu’un grand discours…

GROS PLAN SUR…L’EURÉKA SUPER-JUNIOR 35 dite "Delage"

Comme promis dans mon billet sur les Euréka dites « Bugatti », j’aborde l’autre sujet sur le même thème, les fausses appellations de certaines Euréka, aujourd’hui les « Delage ». Nous verrons dans un billet ultérieure la troisième et dernière approche, les fausses « Delahaye ».

Je dois encore préciser qu’ aucun des modèles créés par la « SOCIÉTÉ DES INVENTIONS NOUVELLES, EURÉKA » n’a porté le nom de Delage. Par contre, on peut constater aujourd’hui au travers de nombreux textes relatifs à ces petites autos que cette appellation est, bien qu’à tort, couramment utilisée.

On peut s’accorder sur le fait que la forme du radiateur de la Super-Junior 35 puisse rappeler celle du radiateur d’une Delage, un peu trop incurvé à mon humble avis. Je reconnais volontiers que la ligne générale de cette même Super-Junior voudrait évoquer une D8, A…? Peut-être ? Il serait intéressant qu’un passionné de Delage veuille bien nous apporter ses réflexions à ce sujet.

Les modèles Euréka souvent appelés à tort « Delage » sont les suivants, tous sortis en 1935:
Réclame 35, Baby 35, Select 35 et Super-Jubior 35. La firme Euéka les a équipé avec des types de roues différents. Ils étaient déclinés ainsi: Select 35 3 variantes, n° 1, 2, et 3, (corne d’appel, ailes enveloppantes, éclairage électrique et coffre ouvrant), 1 option peinture 2 tons – Super Junior 35, 3 variantes, n°1, 2, et 3, (corne d’appel, ailes enveloppantes, éclairage électrique et coffre ouvrant), 5 options: bandages 210X50 ou 225X55, peinture 2 tons spéciale, roue de secours sur coffre ar., pare-chocs av. et ar., avertisseur électrique.