GROS PLAN SUR… LA JUDEZ GRAND-PRIX .

Au début d’une nouvelle année beaucoup d’entre nous tentent de s’imposer de nouvelles règles, d’autres conduites…intérieures ? ? ?
Dans la recherche constante de l’amélioration de notre « Univers » j’ai pensé qu’il pourrait être bon de suivre cet exemple en traitant en 2012 quelques sujets intitulés  » GROS PLAN sur… », mais j’insisterai sur le fait que mes billets soient toujours accompagnés de nombreuses photos, toutes des présentations de jouets dans leur configuration d’ORIGINE, carrosserie, roues volants et autres accessoires, idem pour la peinture. Dans le cas où l’intérêt d’un document m’entraînerait vers un débordement je me ferais un devoir de le préciser.

Aujourd’hui le hasard, et lui seul, me conduit à vitesse réduite, (radar oblige !), vers ce premier « GROS PLAN SUR… » les JUDEZ « GRAND-PRIX », cette grande auto de course dénommée Alfette en robe rouge ou Talbot en robe bleu, (la mode actuelle voudrait qu’elle soit en robe blanche… avec une large bouche et des talons hauts ?), qui s’est vu déclinée en plusieurs variantes, méritant quelques explications.
Il semble que les premiers modèles étaient équipés d’un imposant volant à 2 branches horizontales plates sur un gros rond central plat également, en métal forgé, et de nombreuses louves ornaient le dessus et les cotés du capot et du châssis. On a pu constater 3 numéros de « start » différents, les 3, 5 et 7, chiffres noirs sur rond blanc au diamètre restreint, cerclé d’un filet noir.
On trouve des variantes au niveau des échappements, soit une pipe à 4 tuyaux très courts, soit 2 tuyaux latéraux rigides longs, ou encore 2 tuyaux avec une sortie souple et un refroidisseur, ou encore un seul tuyau rigide gauche, ou bien pas de tuyau… du tout.
Des roues et des enjoliveurs différents ont été utilisés selon les modèles, à rayons fins, à rayons larges ou à trous ovales.
Vers la fin, deja pour des raisons de réduction des coûts de fabrication, elles étaient équipées du petit volant commun à toutes les Judez, en fonte d’aluminium marqué du V8 en son centre, le nombre de louves s’étant trouvé considérablement réduit alors que certains modèles en ont été totalement dépourvu celles-ci étant remplacées par de simples plaques vissées sur le capot. Un petit coussin en « moleskine » striée garnissait néanmoins le dossier du siège, concurrence oblige.
Ci-dessous les photos 10 et 13 présentent des jouets repeints.

J’ai voulu pour ce premier « GROS PLAN » (Sans T, mais hélas sans huitre, sans pain et sans beurre !) traiter un sujet simple, j’aborderai prochainement, muni de nombreux documents, celui très controversé des « Bugatti Euréka ».
Mais il me tarde d’arriver au chapitre des Simca, avec le fameux « GROS PLAN sur… LA COMÈTE !  »













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